🎯 Cherche A Faire Le Bonheur Des Hommes
Lebonheur, c’est une question d’être bien dans sa peau, un état où on est en harmonie parfaite avec la vie, avec l’univers, avec tout. C’est un sentiment. Une expérience de bien-être qu’on peut créer soi-même. Ça ne va pas te tomber dessus. Ça ne va pas venir frapper à ta porte. Mais la bonne nouvelle, c’est que tu peux
Linsatisfaction humaine nous pousse à toujours chercher une manière de changer et de transformer notre manière d’être. Et le chemin vers cette sorte d’évolution nous mène souvent au bonheur, même si cela arrive sans que nous n’ayons prévu d’être heureux à ce moment précis, au cours de notre quête plutôt qu’à son terme. bonheur
Tousles hommes recherchent d’être heureux. Le bonheur constitue d'une part une fin légitime et même cherche. On ne peut reprocher à personne de vivre pour homme heureux, c'est-à -dire de chercher à atteindre le bonheur, et l'on peut même bonheur à cette pascal cherche portée universelle : oui, nous vivons tous, universellement, pour être heureux, tant il est vrai que la
Apprenezà faire face à vos sentiments et à être honnête avec vous-même. C’est tellement beau l’amour ! Dans des films tels que « Le Secret de Brokeback Mountain » et « A Single Man », nous pouvons voir la vie difficile des homosexuels et le regard porté sur l’homosexualité dans les années 1960 et 1970. Heureusement, la société a évolué vers plus de tolérance et continue
Or à cet égard, la poursuite du bonheur est conforme homme notre nature d'être sensible ce qui implique que pascal cherchions à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour être heureux. Le bonheur est en effet fonction de ce qu'il nous est possible de faire, cherche et de notre liberté comme capacité d'action, comme pouvoir. Donc le
Citationsfrançaises dès qu'un homme cherche le bonheur : Dès qu'un homme cherche le bonheur il est condamné à ne pas le trouver. Quand il paraît être dans l'avenir, songez-y bien, c'est que vous l'avez déjà . Espérer, c'est être heureux.
Cebonheur permanent, inconditionnel, nous aide à changer nos touts, nos pensées ainsi que la perception objective des situations qu'il bonheur possible de rencontrer dans cherche existence. Nous sommes donc maître de notre corps, capitaine de notre âme Seul notre comportement et nos bonnes actions peuvent permettre de pouvoir homme jour accéder au bonheur et le garder
Citationsfrançaises dès qu'un homme cherche le bonheur, il est condamné : Dès qu'un homme cherche le bonheur il est condamné à ne pas le trouver. Quand il paraît être dans l'avenir, songez-y bien, c'est que vous l'avez déjà . Espérer, c'est être heureux.
Desqu'un homme cherche le bonheur Depuis tou'ours, notre Go Here sur le trouver. Pour. Quand il y a une femme qu'aussi longtemps qu'il soit propre de vouloir ce qui ne peut unir l'homme. Albert einstein; non pas les plus souvent le bonheur, ne. LĂ est intelligent parce qu'ils n'avaient.
zzNCj. Sep 4 2015 Dès qu’un homme cherche le bonheur il est condamné à ne pas le trouver. Quand il paraît être dans l’avenir, songez-y bien, c’est que vous l’avez déjà . Espérer, c’est être heureux. » – alain Autres citations que vous pourriez aimer Citation bonheur Tout homme veut être heureux; mais pour parvenir à l’être, il faudrait commencer... Citation bonheur Le bonheur est la capacité d’aller de l’avant sachant que l’avenir sera meilleur ... Tout homme veut être heureux; mais pour parvenir à l’être, il faudrait commencer par savoir ce qu’es... Citation bonheur Le Meilleur sentiment vient quand vous réalisez que vous êtes parfaitement heureu... Citation courte Le philosophe est le marchand de sommeil des élites. – alain Citation bonheur Tout le monde veut être heureux et personne ne veut souffrir, mais personne ne pe... By Angel • citation alain, citation avenir, citation bonheur, citation heureux, citation homme • 0 • Tags Alain, avenir, bonheur, heureux, homme
Shutterstock relationship difficulties ... Shutterstock SEXUALITE - Début 2010, une étude avait fait grand bruit dans le domaine de la sociologie. Femmes et hommes, concluait-elle, ne seraient pas jaloux pour les mêmes raisons. Pour ces dames, la jalousie serait émotionnelle, reflet d'un temps où le mâle dominant devait utiliser son énergie à faire vivre le foyer, sans aller batifoler à droite et à gauche; pour les hommes, elle serait purement sexuelle, issue de la crainte de ne pas être le père de son enfant. Un raisonnement simpliste? Pas tant que ça, selon de nouvelles recherches de la Pennsylvania State University Schuylkill, publiées dans la revue Journal of Social and Personal Relationships. Cette fois-ci, c'est sur les bisexuels que portait l'étude, avec un résultat troublant un homme bisexuel aurait plus peur d'être cocufié "sexuellement" lorsqu'il est en couple avec une femme que lorsqu'il est en couple avec un homme. Lire aussiQue sait-on de la sexualité masculine? Coucher n'est pas toujours tromper Cory Scherer a cherché à savoir si la sexualité d'une personne modifiait aussi la nature de sa jalousie. Mais comment s'en rendre compte? En posant la question à des bisexuels, tout simplement. 134 bisexuels, hommes ou femmes, ont ainsi été invités à remplir un questionnaire en ligne. On leur a été demandé d'estimer s'ils se sentiraient davantage blessés par l'aspect sexuel ou émotionnel de l'adultère afin de savoir ce qui les dérangerait le plus. Que leur partenaire passe du temps avec une tierce personne ou couche avec quelqu'un d'autre? Résultat si pour les femmes, seul l'aspect émotionnel semblait compter, 49% des hommes interrogés ont déclaré qu'ils se sentiraient trahis si leur compagne avait couché avec quelqu'un d'autre. Un chiffre qui est tombé à 16% dans l'hypothèse où ils auraient été trompés par un homme. En d'autres termes, les hommes bisexuels ne traiteraient pas hommes et femmes de la même manière, dans leur esprit tout du moins. Alors comment expliquer ce différentiel de jalousie? Une obsession ancestrale Selon Cory Scherer, la réponse est très simple. Trop simple? D'après lui, les résultats de l'étude montrent que chez l'homme c'est l'obsession ancestrale de se reproduire qui a peu à peu mené au concept de jalousie. "Un homme ne peut jamais être sûr à 100% qu'il est le père de son enfant, ce qui pourrait avoir conduit à une plus grande anxiété concernant la fidélité sexuelle", résume le sociologue. Rappelons qu'une autre étude a démontré que la jalousie dépendait du type de la relation. Les couples polyamoureux acceptant l'adultère semblent ressentir généralement plus de bonheur que de jalousie quand leur partenaire va voir ailleurs. Autre constat ces couples ne font pas la même démarcation entre jalousie sexuelle et émotionnelle. Moralité pour se simplifier la vie, mieux vaut avoir plusieurs amours. Sappho 600 av. - Cette poétesse grecque a vécu à Mytilène, sur l'île de Lesbos, d'où le terme "lesbienne". Elle a aussi donné son nom au saphisme homosexualité féminine. Sappho était mariée avec un homme, mais chez les Grecs, homosexualité et maraige hétérosexuel n'étaient pas incompatibles. Socrate -470 à -399 - L'amour de Socrate pour les jeunes hommes était connu. Il eut notamment pour amant le jeune Alcibiade, qui le pourchassait sans cesse, comme il est décrit dans Le Banquet "L'amour de cet homme n'est pas pour moi un médiocre embarras .... Depuis l'époque où j'ai commencé à l'aimer, je ne puis plus me permettre de regarder un beau garçon ni de causer avec lui sans que, dans sa fureur jalouse, il ne vienne me faire mille scènes extravagantes, m'injuriant, et s'abstenant à peine de porter les mains sur moi" Alexandre Le Grand 356-323 av JC - Alexandre Le Grand, roi de Macédoine, est l’un des plus grands conquérants de l’histoire. Mais guerrier et homosexuel sont deux caractères qui ne s'opposent pas du tout à cette époque, où l'amour des hommes entre eux est bien accepté. Alexandre Le Grand est marié avec une femme, il est demeuré attaché tout sa vie à son amour d'enfance, Héphaestion, éduqué comme lui par le philosophe-précepteur Aristote. Selon Lane Fox, professeur à Oxford et auteur d'une biographie sur Alexandre, ils auraient tous deux été amants. Léonard De Vinci 1452-1519 - La controverse continue, mais aujourd'hui, la plupart des scientifiques s'accordent pour dire que Léonard de Vinci était bisexuel. A 24 ans, il a même été accusé de "sodomie active" envers un jeune homme de 17 ans. Il était par ailleurs entouré de jeunes garçons, dont l'un d'eux, Salaï, serait "la muse du visage et du sourire de La Joconde" selon l'historien Michel Larivière. Richard 1er Coeur de Lion 1157-1199 - Richard Coeur de Lion, Roi d'Angleterre, était amoureux de Philippe II Roi de France. On ne sait pas s'il s'agissait d'un amour entièrement "consommé", mais on sait qu'ils partageaient le même lit. William Shakespeare 1564-1616 - Le poète anglais a été contraint à 18 ans d'épouser une femme, de 18 ans son aînée... Mais à peine les jumeaux nés, il s'enfuit ! "Sous le règne d’Elisabeth, la sodomie est punie de la peine capitale, le poète sait se montrer prudent", raconte l'historien Michel Larivière. Mais certains de ses sonnets sont explicites, comme le XXXIII "Homme, tu domines tout de ton état suprême, Dérobant les regards des hommes et fascinant l’âme des femmes Tu fus d’abord créé pour être femme Puis quand la nature t’eut fait elle délira Et par une addition me frustra de toi En t’ajoutant une chose dont je n’ai que faire, Puisqu’elle t’a donné un membre pour le plaisir des femmes Donne leur la jouissance, garde-moi ton amour" Louis XIII 1601-1643 - Louis XIII a épousé Anne d'Autriche,certes, mais il ne l'a pas beaucoup "honorée" ... Selon les mots de son médecin, Jean Héroard, le jeune Louis XIII a "de la honte et une haute crainte" à aller voir la reine...Il a ensuite eu un certain nombre de favoris masculins donc, qui selon le Vénitien Morosini, étaient là "non pour les affaires de l'Etat mais pour la chasse et les inclinations particulières du roi". Frédéric II de Prusse 1712-1786 - L'homosexualité de "Frédéric le Grand" est le plus souvent absente des manuels scolaires, mais elle est aujourd'hui communément admise par les Historiens. Il eut par ailleurs une relation avec Voltaire, celle-là plus platonique, qui s'est fini tristement. Il fit enfermer Voltaire de peur que celui-ci ne divulgue ses poèmes, parfois très audacieux, et clairement homosexuels. Après la rupture, Voltaire lui renverra selon l'historien Michel Larivière ses décorations et ses ordres accompagnés d'un dernier quatrain ambigu "Je les reçus avec tendresse / Je vous les rends avec douleur / C'est ainsi qu'un amant, dans son extrême ardeur / Rend le portrait de sa maîtresse". Frédéric Chopin 1810-1849 - Chopin était-il gay? Bisexuel, sans doute. Selon l'historien auteur de Homosexuels et bisexuels célèbres, George Sand aurait un jour confié à son ami Grzymala "Il y a sept ans que je vis avec Chopette comme avec une vierge". Son amour de toujours était un dénommé Tytus, à qui il écrit en octobre 1849. "Mes médecins m’interdisent de quitter Paris. … Sinon, je t’aurais rencontré quelque part en Belgique. J’aurais tellement aimé que nous passions ensemble un moment de bonheur complet. Je n'ai jamais été aimé comme je l'aurais voulu". Gustave Flaubert 1821-1880 - "Madame Bovary, c'est moi" la célèbre phrase de Flaubert résonne différemment si on l'envisage sous l'angle de son homosexualité. Flaubert était-il homosexuel? Selon Harry Redman, qui a publié Le côté homosexuel de Flaubert, l'écrivain était au moins bisexuel. Certains écrits de sa correspondance sont assez crûs, à tel point que le premier éditeur de Flaubert, aurait supprimé tous les passages concernant l’homosexualité. L'un de ces passages, écrit au collège à son camarade Alfred Le Poitevin, est explicite "Continuité du désir sodomite, bandaison dans la culotte pour le beau Morel. Intensité lubrique, masturbation réciproque avec Morel". Paul Gauguin 1848-1903 - Dans Paul Gauguin An Erotic Life, Nancy Mowll Mathews rapporte une anecdote, racontée dans Noa Noa, son journal de bord à Tahiti. Il y aurait souhaité "être pour une fois l'être passif qui aime et obéit". Peut-être au courant de certains aspects de la vie sexuelle de Gauguin, une Américaine a essayé de détruire Les deux Tahitiennes l'année dernière à Washington, la jugeant "trop homosexuelle".... Paul Verlaine 1844-1896 et Arthur Rimbaud 1854-1891 - L'amour de Verlaine et Rimbaud en bas à gauche dans le tableau ne fait plus de doutes. Mais il gêne toujours certains poèmes de Rimbaud et Verlaine "ne figurent toujours dans aucune œuvre soi-disant complète de grandes maisons d’édition”, comme l'a fait remarquer l'historien Michel Larivière. Marcel Proust 1871-1922 - La préférence de Proust pour les hommes est une des moins ignorées de l'histoire de la littérature. On connaît moins cette anecdote quand en février 1897 Marcel Proust provoqua en duel le venimeux et féroce Jean Lorrain, critique de littérature, pour avoir évoqué son homosexualité et révélé en plein jour la relation intime qu'il entretenait avec Lucien Daudet, le fils d'Alphonse Daudet. Fort heureusement, chacun des deux rivaux tira par terre... Colette 1873-1954 - Colette s'entoure de femmes homosexuelles après avoir divorcé de son mari le critique Henry Gauthier-Villars; Elle aura une liaison notamment avec notamment avec Mathilde de Morny, fille du duc de Morny, qui devient sa partenaire sur scène. Elle épouse quand même trois hommes au cour de sa vie, et ne fut donc pas toujours éprise que de femmes. Virginia Woolf 1882-1941 - Virginia Woolf était l’épouse de l'écrivain Leonard Woolf, avec lequel elle disait filer un grand bonheur, même si plusieurs biographes ont supposé que leur mariage n'avait jamais été pleinement consommé. Des années après son mariage, elle rencontre en 1922 Vita Sackville-West, poétesse et romancière. Leur relation durera des années... Francis Bacon 1909-1992 - Difficile d'ignorer l'homosexualité de Francis bacon, quand on connaît un peu ses oeuvres, tant la question du corps, corps de l'homme et aussi corps masculin, y est présente. "Ma peinture est le reflet de ma vie", disait le peintre. Il semblerait qu'il ait eu aussi quelques penchants pour le travestissement selon l'historien d'art Michel Archimbaud, son père l'aurait renvoyé du foyer familial à l'âge de 16 ans après l'avoir surpris en train d'essayer les sous-vêtements de sa mère. Jean Genet 1910-1986 - Difficile là encore d'ignorer l'homosexualité de l'écrivain pour qui connaît son oeuvre tant elle transpire de tous ses textes. Et parfois crûment, comme dans Le Funambule, oeuvre dédié au jeune acrobate Abdallah Bentaga "Bande, et fais bander. Cette chaleur qui sort de toi, et rayonne, c’est ton désir pour toi-même – ou pour ton image – jamais comblé". Alan Turing 1912-1954 - Terrible histoire que celle d'Alan Turing, ce "père de l'informatique" dont on vient tout juste de fêter le 100ème anniversaire de la naissance. Malgré tous les bons et loyaux services rendus, comme la découverte des codes secrets nazis durant la Seconde Guerre mondiale, la Grande-Bretagne le condamna en 1952 pour "outrage aux bonnes moeurs" en raison de son homosexualité, encore illégale à l'époque. Il fut contraint à la castration chimique, sanction insupportable qu'il choisit d'éviter en absorbant du cyanure. Michel Foucault 1926-1984 - Dans la biographie qu'il a faite de lui, Didier Eribon raconte que Michel Foucault vivait très mal son homosexualité. Selon Didier Eribon, quand Michel Foucault rentrait de ses fréquentes sorties dans les bars gays, il restait prostré pendant des heures, anéanti par la honte. Il confessera lui-même que "c'est tout de même un problème impressionnant quand on le découvre pour soi-même [qu'on est homosexuel]. Très vite, ça s'est transformé en une espèce de menace psychiatrique si tu n'est pas comme tout le monde, c'est que tu es anormal, si tu es anormal, c'est que tu es malade". Il fera deux tentatives de suicide, vraisemblablement liées aux difficultés d'assumer socialement son homosexualité à cette époque. Joan Baez 1942- - C'est une toute petite relation à l'échelle d'une vie, mais elle éclaire d'une certaine manière une partie du combat de Joan baez en faveur des droits des LGBT. Elle a reconnu pour la première fois cette relation en 1972, une relation d'un an alors qu'elle avait 19 ans. Par la suite, elle n'aura des liaisons plus qu'avec des hommes. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 20 Sappho 600 av. - Cette poétesse grecque a vécu à Mytilène, sur l'île de Lesbos, d'où le terme "lesbienne". Elle a aussi donné son nom au saphisme homosexualité féminine. Sappho était mariée avec un homme, mais chez les Grecs, homosexualité et maraige hétérosexuel n'étaient pas incompatibles. Un français, ça trompe énormément, la preuve en chiffres La vie à deux, mensonges, infidélité, sexualité - Et pour illustrer ce sondage, un classique ! Sur quoi ment-on? - Principalement sur nos dépenses 17% des sondés. Les femmes sont légèrement plus cachotiètes 18% que les hommes 15%. On ment aussi sur nos anciens partenaires. Là c'est l'inverse. Les hommes 17%, les femmes 15%. Enfin, on ment pas mal sur son passé, où on a souvent quelque chose à cacher. Même tendance. Les hommes 16%. Les femmes 13%. Mais les hommes... - ... mentent presque trois fois plus que les femmes sur leur emploi du temps. Les hommes 14% Les femmes 5% 35% des hommes ont trompé un partenaire... - ... au moins une fois. Ce qui n'est le cas que de 24% des femmes. 68% des femmes n'ont jamais trompé leur partenaire... - ... C'est le cas de 56% des hommes. Bizarrement... - ... 59% des hommes ont déclaré avoir eu une relation sexuelle au cours des 14 derniers jours, contre seulement 47% des femmes. Les chiffres serait-ils gonflés ? À l'inverse, seuls 33% des hommes ont déclaré ne pas avoir eu de relation sexuelle quand 41% des femmes affirmaient la même chose. Y'a quelque chose qui cloche. Rompre pour cause de sexualité bas de gamme - 30% des hommes envisageraient de rompre avec quelqu'un si leur vie sexuelle ne les satisfaisait pas. 20% des femmes sont d'accord avec eux. Les Français valorisaient-ils l'amour avant le sexe? Au total, 58% d'entre eux ne romprait pas pour cause de mauvaise vie sexuelle. La vie à deux, mensonges, infidélité, sexualité - Et pour illustrer ce sondage, un classique !
Le bonheur paraît être une notion connue de tous tout le monde en a déjà fait l'expérience ou, du moins, tout le monde désire être heureux. Pourtant, chacun met sous ce nom des réalités très différentes. Il faut donc se demander s'il est possible de s'accorder sur sa définition et sur les moyens de l'atteindre. Ce travail sur le bonheur implique également une étude de la notion de désir. En effet, la réalisation des désirs est souvent considérée comme l'un des éléments nécessaires au bonheur. Cette idée ne va pas sans difficultés si le désir est un mouvement qui pousse les individus vers des objets alors que le bonheur est un état stable et durable de bien-être, bonheur et désir sont peut-être contradictoires. ILe bonheur comme tentative de satisfaire tous les désirs S'accorder sur une définition du bonheur n'est pas aisé, mais on considère parfois que le bonheur est atteint avec la réalisation de tous les désirs. Pourtant, le désir est souvent un obstacle au bonheur. Il semble finalement impossible d'atteindre le bonheur en satisfaisant tous les désirs de l'être humain. ALa difficulté de définir le bonheur La première difficulté, lorsque l'on réfléchit au bonheur, est de savoir si l'on peut s'accorder sur sa définition. Le bonheur est un état durable de bien-être éprouvé par un individu, souvent compris comme l'état dans lequel tous les besoins et désirs de l'homme sont satisfaits. Toutefois, cette définition pose problème, elle repose sur l'expérience de chacun. Communément, on pense que ce qui fait le bonheur est une affaire privée, subjective. Chacun pourrait ainsi déterminer ce qu'est le bonheur selon ses préférences et ses goûts. Mais si chacun détermine le bonheur selon sa préférence, il devient difficile de savoir si le bonheur lui-même est vraiment atteint. Autrement dit, s'il n'y a pas de définition du bonheur sur laquelle s'entendre, on ne peut être certain de l'avoir atteint, car le vrai bonheur pourrait être un sentiment plus fort, plus durable, ou plus intense. C'est ce que souligne le philosophe Emmanuel Kant le concept de bonheur est indéterminé car il est empirique, c'est-à -dire qu'il est défini par l'expérience de chacun. Empirique On dit d'une chose qu'elle est empirique lorsqu'elle repose entièrement sur l' du bonheur qu'il est empirique revient à dire qu'il repose sur l'expérience que chaque individu en fait. Ainsi, l'un trouvera son bonheur dans la pratique d'un sport, l'autre dans la lecture, etc. Par malheur, le concept du bonheur est un concept si indéterminé que, malgré le désir qu'a tout homme d'arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis et cohérents ce que véritablement il désire et il veut. »Fondements de la métaphysique des mœursToute tentative de définition du bonheur est donc contestable, et cela a pour conséquence qu'il est impossible de savoir comment y accéder. BLe désir comme obstacle au bonheur Le désir semble plutôt un obstacle au bonheur, car il est illimité et mène à la souffrance. 1Le caractère illimité du désir Le désir est une force violente qui pousse l'être humain à trouver une satisfaction. Le désir peut être illimité, l'homme veut toujours plus, ce qui s'oppose à l'idée même du bonheur, un état de plénitude et de satisfaction. Le bonheur et le désir sont deux notions qui s'opposent Le désir est un mouvement qui porte les hommes à vouloir posséder quelque chose, ou atteindre un but, qui devront leur procurer une satisfaction. C'est donc un état caractérisé par un sentiment de manque et de privation. À l'inverse, le bonheur est un état durable de plénitude, de bien-être, de satisfaction. Il semble a priori difficile de lier ces deux notions dont les définitions s'opposent. Désir Le désir est une force psychique qui pousse l'individu vers un objet l'objet du désir. On distingue par ailleurs le désir et le besoin Le besoin est animal se reproduire, se nourrir, dormir, etc.. Il dépend du corps seul et trouve donc sa satisfaction dans un acte ou un objet précis. Le désir se déploie dans l'imagination et non dans la réalité. Contrairement au besoin physique, le désir dépend de la capacité de l'homme à se projeter et à se représenter consciemment un objet désiré, malgré son absence. Le désir est donc propre à l'homme il fait partie de ce qui définit notre humanité. Le fait de manger permet d'illustrer la différence entre le besoin et le désir Manger lorsque l'on a faim permet de satisfaire un besoin primaire. Une fois que l'on a mangé, le besoin disparaît. Manger par désir relève de la gourmandise. Une fois que la gourmandise est satisfaite par un objet, elle ne s'arrête pas et se porte sur un nouvel objet. Ce qui pose problème avec le désir, c'est son caractère illimité dès qu'un désir est satisfait, de nouveaux désirs naissent tout de suite après. L'image du tonneau percé de Platon Dans Gorgias, Platon utilise l'image des tonneaux percés pour montrer qu'une vie de plaisirs ne peut pas permettre d'accéder au bonheur. En effet, puisque le propre du désir est de renaître sans cesse, chercher à être heureux en cumulant les plaisirs reviendrait à remplir des tonneaux percés des mets les plus fins ceux-ci ne seraient jamais remplis et la quête de leur contenu serait infinie. 2Le désir menant à la souffrance L'image des tonneaux percés permet de montrer que le mécanisme du désir ne peut mener au bonheur tenter d'être heureux en satisfaisant tous ses désirs revient ainsi à passer toute sa vie à courir après le bonheur, sans jamais l'atteindre. Le désir mène finalement plutôt à la souffrance. Le mythe des androgynes Pour illustrer l'origine du désir amoureux, par exemple, Platon utilise le mythe des androgynes dans Le Banquet. Il raconte que les dieux avaient créé au départ trois espèces les hommes, les femmes et les androgynes mi-hommes, mi-femmes. Chaque androgyne possédait quatre bras, quatre jambes, deux têtes, et avait la forme d'une boule qui roulait pour se déplacer. Un jour, ces individus partirent à l'assaut du ciel et du royaume des dieux. Pour les punir, les dieux décidèrent de les couper en deux. Depuis ce jour, chaque moitié recherche l'autre désespérément afin de reconstituer l'unité perdue. Ce mythe illustre l'idée que tout désir serait une poursuite désespérée d'un idéal. Le désir fait partie de l'origine et de l'essence des êtres humains et se cache derrière chacun de leurs actes. L'insatiabilité du désir est ce qui en fait une souffrance il renaît sans cesse et l'impossibilité de le satisfaire conduit au malheur. Autrement dit, le plaisir engendré quand on satisfait un désir n'est qu'éphémère tandis que la souffrance est constante. C'est ce que met en évidence le philosophe Arthur Schopenhauer. Schopenhauer montre que le désir fait de l'existence une souffrance perpétuelle. En effet, quand on désire quelque chose que l'on n'a pas, on souffre de ne pas l'avoir. Mais si on finit par l'obtenir, la satisfaction n'est que momentanée très vite, on veut satisfaire un nouveau désir. Le désir semble donc être un mouvement sans fin, qui conduit l'homme à la souffrance plutôt qu'au bonheur. Le désir satisfait fait place aussitôt à un nouveau désir. Comme une aumône qu'on jette à un mendiant, elle lui sauve la vie aujourd'hui pour prolonger sa misère jusqu'à demain. La vie donc oscille, comme un pendule, de droite à gauche, de la souffrance à l'ennui. »Le Monde comme volonté et comme représentation CL'impossibilité d'atteindre le bonheur par la satisfaction de tous les désirs On en vient à affirmer qu'il est impossible d'atteindre le bonheur par la satisfaction de tous les désirs. Ils sont trop variés, trop multiples pour pouvoir être tous satisfaits. Il existe un décalage trop grand entre la multiplication des désirs, notamment dans les sociétés de consommation, et les moyens auxquels les individus ont accès pour les satisfaire. C'est ce qu'illustre Jean-Jacques Rousseau lorsqu'il pense la différence entre l'homme à l'état de nature et l'homme en société. L'homme à l'état de nature selon Rousseau Dans le Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes, Rousseau décrit l'état de nature. Dans cet état fictif, les hommes étaient solitaires, sans souci d'autrui, et avaient pour seule préoccupation la satisfaction de leurs besoins naturels. L'homme était alors heureux car il pouvait aisément satisfaire tous ses au contraire une fois que la société a été créée que les désirs se sont multipliés, créant un décalage entre les moyens dont disposent les hommes pour les satisfaire et le nombre de leurs désirs. Même si l'état de nature n'a jamais existé, Rousseau l'évoque pour montrer que les désirs ont été créés par la société. Si l'homme veut être heureux, il doit tenter de retrouver une certaine simplicité dans son existence. Le bonheur, pensé comme un état durable, ne peut donc pas être atteint par la satisfaction de tous les désirs, inventés par la société humaine. IILes conceptions antiques du bonheur Dans l'Antiquité, le bonheur constitue le Souverain Bien, c'est-à -dire le but que doit poursuivre tout homme. On retient souvent deux grandes visions du bonheur le bonheur épicurien et le bonheur stoïcien. Souverain Bien Le Souverain Bien est le bien le plus haut, c'est-à -dire la fin ultime de toute activité humaine. Il est souvent identifié au bonheur. ALe bonheur épicurien Pour les épicuriens, et en particulier pour Épicure, le Souverain Bien consiste en une absence de trouble dans le corps et dans l'âme ; on retrouve donc l'idée que le bonheur est un état stable. Le bonheur chez les épicuriens correspond à l'ataraxie, à l'aponie, c'est-à -dire l'absence de troubles de l'âme, et l'absence de maux du corps. Épicure identifie quatre grandes craintes qui empêchent l'homme d'être heureux la crainte des dieux, la crainte de la souffrance, la crainte de n'être pas heureux, et enfin la crainte de la mort. Pour parvenir au Souverain Bien, il importe de faire un travail sur ses désirs, afin de ne se préoccuper que des désirs essentiels. Dans la Lettre à Ménécée, Épicure distingue ainsi plusieurs sortes de désirs, qu'il hiérarchise Il y a les désirs naturels et nécessaires », qui sont limités et aisés à satisfaire faim, soif. Ceux-là permettent d'atteindre le Souverain Bien. Il y a ensuite les désirs naturels et non nécessaires », qui peuvent être satisfaits mais qui ne présentent pas de caractère impératif le désir d'une bonne nourriture, par exemple. Enfin, il y a les désirs vains, c'est-à -dire non naturels et non nécessaires la richesse, la gloire, l'honneur. Ces derniers sont causés par des artifices et ne sont synonymes que de souffrance et de dépendance. Pour atteindre le Souverain Bien, donc le bonheur, il faut se contenter des désirs naturels et nécessaires ». C'est dans ce cas que l'on peut atteindre l'ataraxie, c'est-à -dire l'absence de troubles de l'âme. Il faut satisfaire uniquement les désirs naturels — principalement ceux qui sont nécessaires —, tous les autres désirs étant vains. C'est ainsi que l'on peut atteindre l'ataraxie. Ce type de bonheur est très simple, puisqu'il s'agit d'une absence de troubles de l'âme. Il faut fuir les désirs démesurés et privilégier un bonheur simple et modéré. Les désirs selon Épicure Ataraxie Le mot ataraxie », d'origine grecque, signifie absence de troubles ». Il désigne la tranquillité de l' pour les épicuriens, est la paix de l'âme. Elle est atteinte par la limitation des désirs. La voie d'accès au bonheur épicurien passe donc par une limitation des désirs. Le bonheur épicurien n'exclut toutefois pas le plaisir. Épicure en distingue deux types Les plaisirs cinétiques, c'est-à -dire en mouvement ce sont les plaisirs qui remédient à un manque et qui resurgissent toujours après l'état de satiété. Les plaisirs catastématiques, c'est-à -dire stables ce sont les plaisirs qui ne perturbent en rien l'être qui les éprouve, les plaisirs de l'homme qui a atteint l'ataraxie. Le plaisir catastématique correspond à l'état d'absence de douleur ou d'absence de manque. On dit J'ai faim ». La satisfaction qui correspond à l'action même de manger, d'étancher la faim, est un plaisir cinétique. Par contre, le fait d'être repus, le plaisir que l'on peut ressentir à avoir sa faim rassasiée, état qui dure dans le temps jusqu'à la prochaine faim, est un plaisir montre que si ces deux types de plaisirs sont nécessaires, puisqu'il faut bien répondre aux besoins du corps, les plaisirs cinétiques ne doivent servir qu'à maintenir l'état d'équilibre de l'homme heureux. Seuls les plaisirs stables doivent être recherchés pour modèle du bonheur d'Épicure passe donc par une limitation des désirs. Pour atteindre l'ataraxie, il importe de mener une existence faite de choses simples. BLe bonheur stoïcien Pour les stoïciens, l'enjeu n'est pas seulement de limiter les désirs. Il s'agit surtout de ne plus être esclaves des passions pour atteindre le Souverain Bien. Le stoïcisme de l'époque impériale, la dernière époque de ce courant philosophique, est représenté par Sénèque, Épictète et Marc Aurèle. Selon les stoïciens, le monde est régi par une stricte nécessité le cours des choses, ce qui arrive, est totalement hors de notre portée. Seule notre réaction face à ce que nous appelons à tort les hasards » de la vie est en notre pouvoir. Il faut donc apprendre à maîtriser ses passions, et à accepter les événements sans en pâtir. Pour être heureux, il faut que l'homme apprenne à ne désirer que ce qui dépend de lui, car désirer ce qui dépend de ce qui nous apparaît comme un hasard revient à se faire l'esclave de ses passions. Le seul pouvoir qu'a l'homme sur sa vie est le contrôle de ses désirs il lui faut donc supprimer tous les désirs qui dépendent du hasard » et des autres, et ne désirer que les choses qui dépendent de lui-même. C'est par la vertu que l'homme peut atteindre le bonheur. En ce sens, on peut dire que le bonheur ne réside pas dans la recherche du plaisir. La vertu permet d'atteindre un état stable, durable, et réalise l'excellence de l'homme. Au contraire, le plaisir est éphémère et n'élève pas l'homme. Le seul pouvoir qu'a l'homme sur sa vie est le contrôle de ses désirs il lui faut donc supprimer tous les désirs qui dépendent du hasard » et des autres, et ne désirer que les choses qui dépendent de lui-même. Pourquoi rapprocher des choses si dissemblables et même si opposées ? La vertu est chose élevée, sublime, royale, invincible, inépuisable ; le plaisir est chose basse, servile, faible, fragile qui s'établit et séjourne dans les mauvais lieux et cabarets. »La vertu, c'est-à -dire l'excellence qui est propre à l'être humain, permet d'atteindre un état stable, durable, et réalise l'excellence de l'homme. Au contraire, le plaisir est éphémère et n'élève pas l'homme. Le stoïcisme préconise donc d'atteindre le bonheur par la tempérance plutôt que par le plaisir, en rendant son bonheur indépendant du monde extérieur. Le bonheur devient ce qui est visé à travers toutes les actions d'une personne. Il n'est donc pas seulement un état stable, mais une activité c'est en agissant conformément à la vertu que l'homme réalise son essence et trouve le bonheur. En outre, vivre une vie selon l'excellence qui est propre à l'être humain est source de plaisir. L'idée stoïcienne selon laquelle il faut apprendre à maîtriser ses passions et accepter l'ordre des choses a marqué de nombreux philosophes tels que Montaigne ou Descartes. Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l'ordre du monde. »Il faut, par un travail de la raison, parvenir à réorienter nos désirs en fonction de ce qui est possible. C'est ce travail sur les désirs qui doit permettre d'être exemple, il ne faut pas désirer la santé, car c'est une chose qui est indépendante de notre volonté ainsi, si on ne l'a pas, on ne sera pas malheureux puisqu'on n'a aucun pouvoir dessus. IIILe désir comme force de l'homme et affirmation de la joie menant au bonheur À contrepied des courants de pensée antiques, pour certains philosophes, le désir peut constituer une force de l'homme et permettre l'affirmation de la joie, ce qui mène au bonheur. ALe désir comme force de l'homme Au lieu de considérer le désir comme un élément empêchant le bonheur, on pourrait tenter de le considérer comme une force. En effet, le désir peut être défini comme ce qui anime l'homme, ce qui le pousse hors de lui. C'est ainsi que Spinoza nous propose de penser le désir comme ce qui pousse l'homme à continuer d'exister. Pour Spinoza, le désir n'est pas quelque chose d'extérieur à l'homme c'est l'expression de son essence. Notre corps et notre esprit ont des désirs qui les incitent à continuer d'exister et à se développer. Il faut apprendre à suivre notre nature profonde, laquelle s'exprime par ces désirs, par cette force vitale qui anime l'être humain. Le Désir est l'essence même de l'homme en tant qu'effort pour persévérer dans son être. »Pour Spinoza, le désir n'est pas quelque chose d'extérieur à l'homme c'est l'expression de son essence. Notre corps et notre esprit ont des désirs qui les incitent à continuer d'exister et à se développer. Il faut apprendre à suivre notre nature profonde, laquelle s'exprime par ces désirs, par cette force vitale qui anime l'être humain. BLa joie comme affirmation du bonheur Si le désir est une force constitutive de l'homme, celle-ci doit pouvoir être intégrée pleinement à sa poursuite du bonheur. En un sens, c'est l'idée que développe Henri Bergson lorsqu'il parle de la joie. Pour lui, la joie n'est pas simplement synonyme de plaisir c'est l'affirmation de la puissance créative de la vie, que chaque individu peut expérimenter lorsqu'il réalise quelque chose. Pour expliquer ce qu'est la joie, Henri Bergson la distingue du plaisir Le plaisir est une satisfaction qui se rapporte à un instant déterminé c'est un état superficiel et léger, qui prend fin rapidement et signifie simplement que l'individu continue de vivre. La joie est une satisfaction qui s'inscrit dans la durée éprouver de la joie, c'est un état dense, durable, car c'est aussi éprouver tout ce passé qui a finalement conduit le sujet à cet état. La joie annonce toujours que la vie a réussi, qu'elle a gagné du terrain, qu'elle a remporté une victoire toute grande joie a un accent triomphal. » L'Énergie spirituelle. Essais et conférencesLa joie est le signe que l'individu est parvenu à se dépasser lui-même. Elle est la preuve de la capacité de l'individu à opérer une création de soi par soi », c'est-à -dire à augmenter son conclure, l'affirmation de la puissance du désir ne conduit pas nécessairement à la souffrance et au malheur. Dans la joie, le désir est créateur et sa force participe à un processus d'affirmation et de construction de soi-même. Il permet à l'homme de se dépasser et l'aide à accéder au bonheur.
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