🐲 Si J Étais Un Homme Chilla Parole
VidéoTikTok de Lindsay kne (@lindsaykne) : « #pov tu es au resto avec un couple d'ami ton copain recommence a te rabaisser mais cette fois ci la parole de trop est là #foryou #pourtoi #fyp ». Si j'étais un homme.
Chilla: « Si j'étais un homme » (2017). Commenter 0. Signaler; Fjjdkdd 13 nov. 2019 à 11:01. Non cest une chanson en anglais Commenter 0. Signaler ; Réponse 4 / 4. Ciskoh 23 janv. 2020 à 02:40. Je cherche moi aussi une musique. Impossible de me souvenir des paroles. Il me semble que c'était un duo, anglophone, à la même période que la chanson "7 years old". Il
NOUVELLEPartition musicale réalisée par Eric Sénécal de la chanson Si j’étais un homme de Diane Tell. Fichier PDF de 12 pages à télécharger, accords, mélodie et arrangement de piano ! Paroles inclues. MISE EN LIGNE LE 15 JANVIER 2016. Paroles et musique : Diane Tell / Editions : Tuta Music Inc. 1 avis pour SI J’ÉTAIS UN HOMME. Note 5 sur 5. Jean-Pierre – 13 avril 2022.
Chillaa été enfermée dans ça pendant très longtemps ». L’artiste Chilla a en effet sorti plusieurs morceaux explicites sur les violences des hommes contre les femmes : les morceaux « Sale Chienne » et « Si j’étais un homme » sortis en 2017 et
Bonjourje dois analyser la chanson "Si j'étais un homme" de Chilla. Je devais choisir une chanson engagée et j'ai pris celle-là.Lien entre la musique et les paroles ?comment les paroles sont
Moi si j'étais un homme, je serais capitaine. I, if I was a man, I would be a captain. D'un bateau vert et blanc. of a green and white boat. D'une élégance rare et plus fort que l'ébène. of rare elegance and stronger than ebony. Pour les trop mauvais temps. for the bad weather. Je t'emmènerais en voyage.
HeySalut tout le monde ! Chilla-Si j'étais un hommeParoles LyricsBon visionnage à tous !
Larappeuse de 28 ans, franco-malgache née à Genève en Suisse, est une acharnée de travail. Dans le sillon de la génération Diam’s, elle se révèle au public avec les titres Si j’étais un homme et Sale chienne, en 2017. Année des révélations du mouvement Metoo, libérant la parole des femmes. Le message a l’effet d’un coup
EnUkraine, les récits de viols par des soldats russes se multiplient. Fabrice Virgili, historien français, revient sur les violences sexuelles en temps de guerre, quasi-systématiques. Cheek.
xi48d. "J'suis celle que tu n'attendais pas". Dans Sale chienne, Chilla répond sans détour à ceux qui l'insultent sur les réseaux sociaux. Ceux qui questionnent sa légitimité à rapper dans ce monde de mecs où c'est mieux si tu viens de la cité. Dans ce monde où les femmes sont souvent ramenées à leur physique, comparées à des objets qu'on utilise volontiers, traitées de "chiennes" ou de "putes" à grand renfort d'auto-tune. Nous non plus on ne l'attendait pas, cette artiste à la plume sans pitié pour le sexisme et les clichés du monde du rap. Alors une poignée de jours après la sortie de Karma, son premier EP disponible depuis le 11 novembre, nous avons rencontré Maréva Rana, de son vrai nom, dans les locaux de sa maison de production, au cœur du 17ème arrondissement. C'est ici, entre une agence immobilière et une austère boutique d'antiquités, que se sont nés les 10 titres qui composent Karma, une collection de pépites déjà saluée par la presse. Présentée comme une "rappeuse féministe" parce qu'elle écrit sur son quotidien de jeune femme le harcèlement dans la rue comme sur les réseaux sociaux et les inégalités présentes dans toutes les strates de la société, Chilla, 23 ans, s'est révélée à nous comme dans ses morceaux. Fine observatrice, le verbe facile, le sens de la nuance et une certaine pudeur qui promettent à la jeune artiste une jolie carrière. Des textes autobiographiquesSi le premier EP de Chilla a pu voir le jour, c'est parce que "le karma a agit en ma faveur", nous confie d'emblée Chilla. Celle qui a grandi dans un "petit patelin" près de la frontière suisse doit son amour de la musique à ses parents, travaillant dans le social. Son père, un très bon pianiste, "aurait pu en faire son métier mais il n'a jamais eu la prétention d'essayer", glisse-t-elle. C'est lui qui a nourri Chilla au jazz ou au blues tandis que sa mère, le "seul modèle féminin" de son entourage, s'est occupée de lui faire écouter du rock, du ska ou du jazz manouche. À 6 ans, Chilla débute le violon et poursuit sa scolarité dans la musique avec un cursus au conservatoire. Une fois son bac littéraire en poche option musique, la jeune femme s'essaie aux cours de chant mais finit par abandonner. Cet esprit vif et spontané n'est pas taillé pour un parcours académique. La découverte du rap, au hasard d'un défi entre potes comme elle le raconte dans de nombreuses interviews, achèvera l'accomplissement de son destin Tefa, producteur de MC Jean Gab1, Diam's ou Keny Arkana au CV long comme deux bras, la repère sur YouTube et lui permet de donner naissance à son premier projet aux textes autobiographiques et puissants. Exemple avec Si j'étais un homme, un titre qui dénonce "certains comportements abusifs que certains hommes ont envers les femmes" en retournant la situation. "C'était le meilleur moyen pour que les hommes puissent se mettre à notre place", explique Chilla qui a écrit les paroles avec Cléo, une amie également chanteuse basée à Bruxelles. Dans Chico, dernier puissant titre de l'EP, Chilla s'adresse à son père, décédé d'un cancer du rein alors qu'elle avait 14 ans. "Non je n'ai pas oublié / Les traits de ton visage métissé / Tes yeux noisettes emplis de sincérité / Ta tendresse, ta voix, ton humanité", rappe-t-elle d'une voix grave et sensible. "D'une certaine manière avec cet EP, j'ai essayé d'ouvrir mon intimité au public mais sans trop entrer dans les détails. Parce qu'il y a une forme de pudeur qui m'a empêchée sur ce projet de trop pousser sur mon histoire personnelle", confie Chilla qui reconnaît ensuite que cela va lui "prendre un peu de temps" pour s'ouvrir plus dans ses prochaines compositions. L'écriture comme prise de conscience"J'ai pas la prétention de changer les choses avec ma musique", affirme celle qui aborde cependant dans ses chansons des discours jusqu'à alors totalement inexistants dans le rap... et dans la musique française en général. "Il commence à y avoir un éveil des consciences par rapport à la condition des femmes, au manque de parité et d'égalité, ça va aller en s’améliorant !", prédit Chilla avec optimisme, faisant écho à la libération de la parole depuis les révélations de l'affaire Harvey éveil à elle, la rappeuse le doit à une éducation sans stéréotype de genres, un héritage maternel de valeurs d'indépendance, d'égalité et de détermination mais aussi, et peut-être surtout, à la pratique de l'écriture dès l'âge de 17 ans. "Il y a des situations dans lesquelles on se retrouve depuis qu'on est gamine et que j'avais banalisées. Je pensais que c'était normal d'être un peu angoissée en sortant de chez soi à 23 heures le soir, de devoir se taire quand un homme nous accoste de manière vulgaire dans la rue, de devoir se battre sans arrêt pour réussir autant que les hommes", raconte celle qui a "pris conscience de cette injustice petit à petit", à force d'expériences, de maturité et de recul par rapport aux textes qu'elle écrivait. Ça veut dire quoi faire le bonhomme ? Chilla, rappeuse de 23 ans "Cette barrière du sexe, je ne l'ai jamais eue. C'est en étant exposée et après avoir reçu des retours un peu durs que j'ai réalisé qu'être une femme posait problème dans ce milieu". On la dit vulgaire pour une fille, mais en quoi la vulgarité serait-elle réservée aux hommes ? Chilla, elle fait le bonhomme ? "Mais ça veut dire quoi faire le bonhomme ?", s'interroge celle qui pense devoir son côté "virile" aux rappeurs qu'elle a beaucoup écoutés et dont elle admire le travail. La tête sur les épaules, ancrée dans sa réalité, critique de la société dans laquelle elle évolue, consciente de ses privilèges comme de ses difficultés, Chilla s'inscrit dans une génération de jeunes artistes qu'on prend plaisir à écouter. C'est par leurs mots, leur voix et leur talent que, sans toujours le savoir, elles permettent à d'autres jeunes femmes de s'éveiller. "Je suis dans l'arène passe-moi le micro pousse-toi", scande Chilla dans Indigo, un titre inédit à Karma. Comme une image que les temps ont changé et que les femmes sont prêtes à se faire entendre. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info
Apartir de la mi-novembre, notre fil Facebook s'est affolé. Accolés au blaze de Chilla sont apparus des noms qu'on n'attendait pas. Des qui se terminent en a», comme Gala ou Grazia. Des qui marchent en continu, comme LCI ou France Info. Des qui parlent aux féministes, aux jeunes… Face à cette éruption médiatique, on est restée comme deux ronds de flan. Elle aussi. Ça fait beaucoup d'un coup, je ne suis pas du tout habituée à la promo, lâche sans rougir la jeune rappeuse. Parfois, ça fait un peu peur parce qu'on se rend compte que notre parole est exposée dans ses moindres détails.» Depuis la sortie de son premier EP mini-album qui n'a de mini que le nom puisqu'il compte dix titres, baptisé Karma, elle attire les journalistes comme un aimant. Féministe», engagée», sexisme» titre après titre, les mêmes termes au moins à nos confrères peu inspirés qu'avec Chilla, on est sur un terrain savonneux. Le talent de cette artiste originaire du pays de Gex, à la frontière suisse, justifie qu'on s'intéresse à elle. Ses allers-retours savamment dosés entre rap et chant, sa voix subtilement cassée quand les notes se prolongent, ses textes - merde, on va le dire - parfois engagés. Ça pourrait suffire. Mais il serait hypocrite d'ignorer qu'elle est une femme dans un milieu où, en France, 95 % des albums sont faits par des hommes. Et que ses morceaux - foutu pour foutu, disons-le aussi - féministes, comme Sale Chienne, Si j'étais un homme et Balancetonporc dénotent dans cet la retrouve dans les locaux de son producteur, à deux pas de l'Arc de triomphe. Promis, on voulait d'abord parler musique. Eviter la peau de banane genrée. Mais c'est Chilla elle-même, avec ses longs cheveux châtains et ses yeux bruns qu'allongent ses habituels traits d'eye-liner, qui aborde spontanément le sujet. On me rappelle sans arrêt le fait que je suis une femme dans le rap, et c'est quelque chose qui parfois me dérange. Parce qu'on se focalise plus sur mon sexe que sur ma musique», regrette-t-elle. Ah oui, mais nous, on ne voulait pas en parler tout de suite, hein. Le fait de devoir se répéter cinq fois par jour, dans des interviews où on te dit sans arrêt "t'es une femme dans le rap"… il y a un moment où je prends un peu les devants maintenant», justifie-t-elle tranquillement, balançant son petit briquet d'une main à l' Rana - un diminutif de son nom de famille, malgache, qu’elle ne souhaite pas dévoiler entièrement - est une femme, donc, et ça fait vingt-trois ans maintenant. Dans le lot, cinq passés à rapper. Derrière elle, une formation classique, douze ans de violon, des heures de solfège, de conservatoire, de rigueur et de théorie, jusqu’à l’écœurement. A 18 ans, elle envoie balader l’archet loin, très loin, au point de ne plus jamais y retoucher. Même traitement avec son éducation catholique, elle, qui honnit désormais la religion - autant que la ses 14 ans, et le décès de son père, cette fille d'éducateurs spécialisés, anciennement bonne élève mais qui a décroché son bac L option musique de justesse à la seconde tentative, ne sait plus où elle va. Ça a enlevé tellement de sens à ma vie que j'ai dû en recréer moi-même par la suite. Pour recréer du sens, j'ai créé ma musique.» C'est son père, pianiste amateur, qui lui a transmis sa passion, son oreille. Maréva se met à rapper avec des potes, pour déconner, en faisant limite du Alkpote», du nom de ce rappeur aux paroles pour le moins fleuries quand il s'agit des femmes. Celle qui chante j'aurais beau tarter des milliers d'MCs [de rappeurs, ndlr], les femmes ne seraient bonnes qu'à la vaisselle» ou chaque attaque sexiste, commentaire misogyne me rendent plus forte» s'ambiance donc sur les sons d'un artiste auquel on doit octuple pute», espèce de catin suce mon câble» et autre t'avales des litres, position anale j'hésite» ? Quand j'écoute du Alkpote, c'est pour décompresser, tranche Chilla. Jul, à partir du moment où il a dit "te déshabille pas j'vais te violer", c'était plié, il était condamné dans ma tête. Alkpote à l'inverse, c'est un pur personnage. Il dit "je vais tringler toutes ces putes" mais on sait que tous les soirs, il rentre chez lui, il donne à bouffer à ses enfants. Et puis, à quel moment, c'est négatif d'être une "pute" ?»S'il est d'apparence facile de ranger l'artiste dans une case, la réalité est tout autre. Féministe, bien sûr, mais on parle là de trois titres sur plusieurs dizaines. Rappeuse, évidemment, mais pas vraiment plus que chanteuse tout compte fait. Humble, manquant d'assurance, indéniablement, mais capable d'embrasser l'egotrip cher au rap sans sourciller. Ce que j'aime le plus dans le rap, c'est la liberté, loue Chilla. Je trouve ça magnifique d'avoir un point de vue engagé sur certains points, une partie plus légère où je vais parler de mon quotidien, de voyages, et, de l'autre côté, être dans un imaginaire où je vais dire que je suis là pour tout niquer.»La reconnaissance dans le milieu est arrivée rapidement. Tefa, producteur notamment de Diam's, Kery James ou, plus récemment, Fianso et Vald, flashe sur elle début 2016 lors d'une émission Planète Rap, sur Skyrock. Elle passait du rap au chant avec une aisance indécente, se souvient Tefa. Elle a un positionnement, elle a du mordant. Une femme dans le rap est obligée d'user de subterfuges faire de très gros tubes ou avoir des choses très puissantes à dire. Chilla a décidé de parler, d'avoir du texte.»On sent Chilla un peu paumée tout de même. Elle veut porter sa parole de femme, dénoncer le sexisme - pas plus présent dans le hip-hop que dans la société en général, insiste-t-elle - tacler ces décérébrés qui, en commentaires sur les réseaux sociaux, la renvoient à sa position de femelle qui ose se frotter à un terrain d'individus burnés. Mais j'ai peur qu'on me réduise au féminisme. Je ne pense pas avoir les épaules pour assumer uniquement un positionnement politisé, glisse-t-elle. Je vais peut-être un peu calmer la cadence des titres trop féministes, justement, parce que j'ai envie qu'il y ait de l'espace pour les autres thèmes.»On lui demande quel serait son feat rêvé, son duo idéal. Elle réfléchit. Orelsan, ce serait cool.» Gamberge encore. Il faudrait que ce soit un feat Orelsan, Damso, Alkpote.» Soit, dans l'ordre, les auteurs de j'crache dans tes règles ça fait ketchup-mayo», dans sa teu-cha j'ai nagé le crawl» et sale tain-pu je te laisse la chatte bleutée». Pas sûr qu'avec ça, Gala la réinvite pour un avril 1994 Naissance à Genève Suisse.2012 Arrête le violon, se met au 2016 Rencontre 2017 Sortie de son premier EP, Karma.
Les paroles de Sale chienne de Chilla ont été traduites en 3 languesJ′aurais beau rapper la peine Résister à la haine Je n'serais jamais la reine, chienneJ′aurais beau tarter des milliers d'MCs, les femmes ne seraient bonnes qu'à la vaisselle, chienne Le passé difficile, ferme ta gueule si tu n′viens pas de la tess′, chienne Sur le trajet des critiques, sur les épaules, haute est la tête Pas dans l'attente de votre reconnaissance Le hip-hop hybride entame sa renaissance La misogynie sans cesse omniprésente Sur les réseaux pas d′limites c'est exaspérant Quand t′es agressive, t'fais l′pelo Quand t'es pas sexy, t'fais l′pelo Si tu fais des thunes t′es une salope Même avec un pull t'es un salope Traumatisées seront les ondes L′heure du combat arrive, sonne le gong La p'tite est validée par tous les oncles J′suis pas là pour m'faire apprécier des cons, ouais Tu seras témoin des dégâts T′es pas prêt, Suther Kane s'abat sur toi Les aigles et les pigeons n'se mélangent pas J′ai tout c′que tu n'a pas donc J′suis cette sale chienne Celle qui n'a rien demandé Celle qui n′a pas quémandé Celle qui vient te démanger Celle qui t'a bien dérangé J′aurais beau rapper la peine Résister à la haine Je n'serais jamais la reine, chienne J'aurais beau tarter des milliers d′MCs, les femmes ne seraient bonnes qu′à la vaisselle, chienne Le passé difficile, ferme ta gueule si tu n'viens pas de la tess′, chienne Sur le trajet des critiques, sur les épaules, haute est la tête J'suis celle qui te fout le seum Celle qui débarque au milieu de milliers d′keums Tu n'apprécies pas, tu commentes "T′es cheum" Derrière ton écran, déboussolé t'es seul Ouais, j'vais niquer tous vos tabous Aussi épicée qu′une sauce andalouse Vénus est revenue à l′ordre du jour La rage on a tout, j'suis là c′est du lourd J'suis celle que tu n′attendais pas Celle qui ne t'inspire pas J′suis celle que t'insultes J'te fait la bise man J′n′éduquerai pas un âne avec un freestyle Ouais, même si je rappais, dansait, chantais, parlais anglais pour certains je n'serais jamais qu′une chienne J'devrais rester à la maison pour tâches ménagères enchaînée à des chaînes, chienne Celle qui n′a rien demandé Celle qui n'a pas quémandé Celle qui vient te démanger Celle qui t′a bien dérangé Sale chienne, sale chienne Sale chienne, ouh ouh ouh ah Sale chienne Sale chienne, wouh, wouh J'aurais beau rapper la peine Résister à la haine Je n'serais jamais la reine, chienne J′aurais beau tarter des milliers d′MCs, les femmes ne seraient bonnes qu'à la vaisselle, chienne Le passé difficile, ferme ta gueule si tu n′viens pas de la tess', chienne Sur le trajet des critiques, sur les épaules, haute est la têteWriters Mareva Rana, Mohamed Zeghoudi, Mareva Ranarivelo chilla, Mohamed Zeghoudi zeg P
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